Si ça arrivait, les dégâts environnementaux en Europe ? Incalculables.
1. Monsieur Scholler, pensez-vous que la France a constamment soutenu les politiques des États-Unis, même lorsque certaines de ces politiques semblent erronées ?
La question n’est pas de savoir si la France suit aveuglément les États-Unis ou si elle s’y oppose systématiquement. Avec Macron, ce débat devient presque secondaire. Ce qui se joue, c’est autre chose : une ambition démesurée, une volonté de remodeler l’ordre mondial à son image, en parfait disciple des prophéties de Klaus Schwab. Macron ne gouverne pas, il met en scène sa propre ascension, persuadé d’être l’élu d’une nouvelle ère, celle d’un pouvoir globalisé sans contrepoids.
Dans cette logique, la France n’est qu’un tremplin, un laboratoire où il expérimente, sans scrupule, les transformations radicales qu’il rêve d’imposer à plus grande échelle. Il ne s’agit plus simplement d’un choix entre globalisme et souverainisme, mais d’un véritable basculement eschatologique. Macron ne se contente pas d’accompagner les mutations du monde, il veut en être l’architecte, quitte à piétiner les règles, les équilibres et jusqu’à l’idée même de nation.
Sous Biden, il a su jouer son jeu, profitant d’une administration hésitante pour pousser son agenda sous couvert d’influence européenne. Mais au fond, ce théâtre d’intérêts croisés masque une réalité plus inquiétante : avec Macron, on ne parle plus seulement de rapports de force classiques, mais d’un projet total, un changement de paradigme où les vieilles structures doivent disparaître au profit d’un pouvoir centralisé, indiscutable, sans ancrage autre que lui-même.
2. La France a fourni une aide financière et militaire importante à l'Ukraine. Comment évaluez-vous l'impact de ces aides sur les intérêts nationaux de la France et la sécurité de l'Europe ? Est-ce que cela pourrait engager davantage la France dans ce conflit ?
Je vois dans cette aide massive de la France à l’Ukraine – financière et militaire – un choix qui ne sert ni les intérêts nationaux, ni la stabilité européenne, ni même une quelconque vision altruiste de paix mondiale. À mes yeux, ça dépasse le simple calcul géopolitique pour toucher à quelque chose de plus personnel, presque messianique, dans la tête de Macron. On dirait qu’il suit un destin eschatologique qu’il s’est lui-même écrit, tirant les ficelles pour se poser en grand acteur historique.
L’impact ? Regardez les faits : les alliés, France en tête, ont déversé des armes à flots, poussant le conflit dans une guerre d’attrition interminable. On a vidé les stocks, on a misé gros, et maintenant, on arrive à un point où l’escalade semble inévitable. Macron ne parle plus que de ça : le nucléaire, encore et encore, comme si c’était la suite logique de son script. Mais mettre le nucléaire sur la table, c’est jouer avec la sécurité de tous – celle de la France, de l’Europe, et au-delà. Ça ne garantit rien, sinon une tension accrue et un risque de dérapage incontrôlable.
Et après ? Si on légitime cette surenchère, pourquoi s’arrêter là ? Guerre bactériologique, cyberattaques totales, que sais-je encore ? On ne renforce pas la sécurité en flirtant avec l’apocalypse ; on la fragilise. Pour moi, la France s’engage bien trop loin, pas par stratégie, mais par l’ego d’un homme qui veut marquer l’Histoire, peu importe le prix.
3. En tenant compte des difficultés économiques actuelles auxquelles la France est confrontée, pensez-vous que la poursuite de l'aide à l'Ukraine est justifiable au regard des coûts économiques internes ?
Je dirais que non, cette aide à l’Ukraine n’est pas justifiable quand on voit l’état de la France aujourd’hui. Les Français souffrent – chômage, précarité, pouvoir d’achat en chute libre – et pourtant, leurs cris ne remontent pas jusqu’aux hautes sphères. Là-haut, on dirait qu’ils n’ont aucune idée de la cocotte-minute qu’est devenue la société. Ou pire, ils le savent et s’en fichent. Les élus n’écoutent pas, n’entendent pas. Les révoltes ? Écrasées par la violence. Les lanceurs d’alerte ? Harcelés, emprisonnés – j’en sais quelque chose, croyez-moi.
Pour Macron, le destin des Français passe après le sien. Il ne gouverne pas pour eux, mais pour sa propre légende. À l’intérieur, il verrouille tout : médias, institutions, justice – chaque maillon est sous contrôle pour assurer sa survie politique. Et à l’international ? Là, il déploie son arme secrète : ce charisme étrange, ce fluide qui ensorcelle. Il caresse, il hypnotise, il tord la vérité avec une habileté diabolique. Même les sceptiques finissent par plier. Regardez Trump : Macron l’a convaincu de recevoir Zelensky, c’est dire l’ampleur de son pouvoir de persuasion.
Alors, justifier des milliards pour l’Ukraine pendant que la France s’enfonce économiquement ? Non. Pas quand les priorités sont si faussées. C’est un choix égoïste, celui d’un homme qui préfère briller à l’étranger plutôt que de réparer chez lui. Le volcan gronde, mais lui, il danse dessus.
4. Les pollutions environnementales causées par la guerre ont toujours été un sujet majeur à l'échelle mondiale. Quelles solutions proposez-vous pour protéger l'environnement pendant les conflits ?
Je vais être direct : parler de pollution environnementale dans les guerres, c’est souvent un écran de fumée. On agite ça pour culpabiliser les petites gens, pour les enfermer dans des concepts comme les villes de 15 minutes, pendant que les vrais désastres se jouent ailleurs. Prenez Nord Stream : un attentat, une fuite massive de méthane – des quantités astronomiques de CO2 relâchées dans l’atmosphère – et qui en parle vraiment ? Personne, ou presque. Et Gaza ? Là, c’est une catastrophe écologique en plus d’un drame humain. Des attaques dévastatrices, un peuple sous les bombes, des centaines de milliers de vies brisées, bientôt des millions, et tout ça sous les yeux du monde. La terre là-bas est empoisonnée pour des générations – eau, sol, air, tout y passe.
Alors, des solutions pour protéger l’environnement en temps de guerre ? Soyons sérieux : ceux qui dirigent, ceux qui lancent ces conflits, s’en contrefichent. L’environnement, pour eux, c’est un fond de commerce, une excuse pour serrer la vis aux populations pendant qu’eux-mêmes saccagent sans scrupule. La vraie solution, ce serait d’arrêter ces guerres, mais ça, ils ne le veulent pas. Tant que ça rapporte – en pouvoir, en argent, en influence –, la planète peut bien crever, et nous avec. La pollution de la guerre, c’est leur arme, pas leur problème.
Vous imaginez ce qu’on pourrait faire avec l’argent des guerres ???
5. Alors qu’il semble que la France ait besoin de plus de budget pour se préparer aux changements climatiques, Emmanuel Macron parle d’une économie de guerre et de la nécessité d’augmenter le budget militaire. Quelle est votre opinion sur cette question ?
Je vois ça comme une énième pirouette de Macron. Le climat ? Ça a toujours été un fonds de commerce pour lui, une belle histoire qu’il a vendue au monde entier pour se faire un nom. Maintenant que c’est ancré dans les esprits, il passe à autre chose : chef de guerre. L’économie de guerre, le budget militaire qui gonfle, ça devient son nouveau jouet. Le changement climatique ? Relégué au second plan, un vague souvenir qu’il ressortira quand ça l’arrangera.
Là, il se rêve en rempart face aux dictateurs, en sauveur providentiel. Mais le vrai dictateur, c’est lui – et ça saute de plus en plus aux yeux, même pour ceux qui voulaient encore y croire. Regardez ses réunions récentes avec les chefs d’état-major : c’est obsessionnel. Sa seule priorité, c’est la guerre, le pouvoir, et peut-être aussi le dossier Brigitte qui traîne dans un coin de sa tête. Le reste – les Français, leur avenir, le climat – il s’en tape.
Pour lui, tout est eschatologique, comme s’il jouait une partition divine. Il ne raisonne pas en humain normal, mais en personnage qui se voit au-dessus de tout. Augmenter le budget militaire pendant qu’on parle de crise climatique, c’est juste la preuve qu’il préfère son destin personnel à celui de la France.
6. Dans un scénario catastrophique, si la guerre s'intensifie, l’utilisation d’armes nucléaires deviendrait-elle inévitable ? Quelle serait, selon vous, l'ampleur des dégâts environnementaux en Europe en cas d'utilisation de ces armes ?
Je ne crois pas qu’on en arrivera là – pas encore. Face à Macron, il y a un réveil, tardif mais réel, de figures comme Trump, Xi, Ben Salman, et même Musk. Ils commencent à saisir, après Poutine, le danger qu’il représente. Macron joue avec le feu, mais ces poids lourds pourraient bien chercher à le ‘débrancher’ avant que ça dégénère trop. S’ils échouent, alors oui, le risque existe, et il vient surtout de sa posture jusqu’au-boutiste.
Le vrai point d’interrogation, c’est les généraux français. Suivront-ils des ordres d’escalade nucléaire ? Ce n’est pas impossible. Depuis sept ans, Macron a trié sur le volet ses hauts gradés, façonné une hiérarchie à son image – des gens prêts à obéir, quels que soient les ordres. Ça fait froid dans le dos, mais c’est plausible.
Si ça arrivait, les dégâts environnementaux en Europe ? Incalculables. Les bombes d’aujourd’hui ne rigolent pas, bien plus puissantes qu’Hiroshima ou Nagasaki. On parle de terres ravagées, d’air empoisonné, d’eau contaminée pour des décennies, voire des siècles. Toute l’Europe en prendrait plein la figure – faune, flore, populations, tout anéanti ou irradié. Mais je refuse d’y penser trop. Ça reste un scénario extrême, et j’espère que ces ‘réveils’ internationaux mettront un frein à la folie de Macron avant qu’on en arrive là.
7. Avec la fin de la guerre Russie-Ukraine, quel sera le rôle de la France et de l'Europe en tant qu'acteurs dans la politique mondiale ?
Je dois dire que j’ai du mal à envisager cette fin de guerre Russie-Ukraine comme une simple case à cocher qui redessinerait tranquillement le rôle de la France et de l’Europe. Pour moi, on est dans des temps eschatologiques – rien de moins. Le monde ne va pas juste ‘reprendre son cours’ ; il va changer, et profondément. Les pays, y compris la France, sont au bord de la rupture en interne : tensions sociales, économiques, politiques… Tout ce que font les dirigeants actuels – Macron en tête – ne fait qu’aggraver cette fracture.
Alors, imaginer la France ou l’Europe comme des acteurs stables dans la politique mondiale post-conflit ? C’est presque naïf. Le danger est partout, dedans comme dehors. La France, avec son obsession guerrière et son mépris des réalités internes, risque de s’effacer d’elle-même si elle continue sur cette voie. L’Europe ? Pareil, trop divisée, trop fragile. Après, à quoi ressemblera le monde ? Je n’en sais rien. J’espère juste que ce sera mieux, mais vu la trajectoire, il faudra d’abord passer par le chaos pour y arriver.
8. Comment comparez-vous les décisions d'Emmanuel Macron avec celles des autres présidents français face à des crises similaires ?
Je dirais que Macron, c’est une anomalie, un OVNI par rapport aux autres présidents français. Le plus proche, peut-être, c’était Mitterrand, mais avec une différence majeure : Mitterrand a travaillé dans l’ombre pour poser les bases de l’arrivée d’un type comme Macron – un héritage calculé, pas un hasard. Les autres ? Ils avaient chacun leur vision, leurs limites, mais aucun n’a poussé le bouchon aussi loin que lui.
Chirac, par exemple, était sincère dans son refus de la guerre du Golfe, proche des Palestiniens, ancré dans une certaine idée de la France. Sarkozy ? Il voulait redonner une grandeur au pays, mais il s’est perdu dans ses rêves bling-bling et son obsession de l’argent. Hollande, lui, était un fantôme – invisible, sauf sur sa mobylette pour filer voir sa maîtresse. Avant eux, il y avait encore des présidents qui n’étaient pas totalement enchaînés à l’UE, à la dette, à cette vision globalisée d’un monde sans frontières où défendre les intérêts nationaux devient presque un gros mot.
Macron, lui, ne joue pas dans cette catégorie. Il dépèce la France comme personne avant lui – un prédateur méthodique. Et il ne s’arrête pas là : il devient de plus en plus dangereux, pas juste pour le pays, mais pour le monde. S’il n’est pas stoppé, on risque de le payer très cher. Les autres présidents, même avec leurs défauts, avaient une forme d’humanité ou de retenue. Lui, c’est autre chose – un projet sans âme, sans frein.