Une « reprise de la vie sauvage »
L’espèce n’est donc plus à présent considérée comme « quasi menacée », mais « vulnérable », selon l’Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Malgré un accroissement encourageant de cette population d’animaux, l’espèce a décru de 75 à 90 % dans les 120 à 200 dernières années, probablement à cause de l’activité humaine.
Le représentant d’État a félicité cette progression en diffusant un message sur Twitter. Celui-ci y explique que « l’augmentation de la population de tigres, lions et léopards sur ces dix dernières années est une preuve de la reprise de la vie sauvage et de la biodiversité ».